Graham a écrit :Je suis pas fan de la trilogie, mais je suis obligé d'admettre cette coïncidence (ou pas?
) est vraiment incroyable.
-Arcegea- a écrit :Voilà une bien macabre coïncidence...
Selon moi et mes théories, ce n'est pas une coïcidence (et je ne crois pas aux coïcidences). Mon explication pour ce cas est simple :
Déjà, il faut savoir qu'un artiste met son âme dans son œuvre peu importe la froideur du mouvement dans lequel il est inscrit. En fait, selon moi, nous mettons nous-mêmes des parties de notre âme et de nos souvenirs dans des objets de la vie quotidienne. Je m'explique... Si on revoit éthymologiquement la racine du terme "âme", on tombe sur le latin
anima qui a donné "animal" (Un animal est un être dont l'âme lui permet de se mouvoir). Les humains appartiennent à cette catégorie. Seules les plantes sont des êtres vivants qui n'auraient pas d'âme (à priori).
Cela dit, physiquement comme imaginairement, nous sommes aussi capables, nous qui savons bouger, de faire animer nos créations, de leur donner des mouvements. Ces créations sont appelées objets (en général) et les mouvements changent de nom lorsqu'on observe plusieurs sciences (force pour la physique par exemple). Donc, les objets sont capables de se mouvoir en se servent de notre âme qui est fonctionnelle en nous. Prenons l'exemple d'un robot autonome. Au début de sa création, il est, selon moi, un objet, c'est-à-dire qu'il utilise l'âme et l'intelligence humaine pour bouger. Ensuite, lorsqu'il est terminé, la poussée humaine est remplacé par un substitut électrique. En gros, le substitut de l'âme dans un robot est l'électricité qui lui permet de s'animer (je parle bien de robot autonome).
Pour les objets qui ne sont pas autonomes, on parlera de dépendance à l'humain comme un embryon, un fœtus ou un nourrisson dépend de sa mère bien qu'un nourrisson sait se mouvoir tout seul mais c'est une image.
Donc, pour en revenir à Tolkien et en accord avec ma théorie... Tolkien aurait mis de son âme dans ses livres. Je dirai même qu'il a vécu son œuvre. Il a réussi à la faire bouger dans les imaginations de beaucoup. Le fait d'avoir vécu son œuvre a permis à celle-ci de dépasser la dimension de l'imagination et de se mêler à la réalité. Une preuve parmi tant d'autres est le fait qu'il soit mort en 1973 date en relation avec son poème en noir parler (langue du Mordor) qui se lit à l'envers, si je ne m'abuse.
C'était la théorie monocramienne avec MonocraM.