[FIC] Slender

[Black-shadow]

oui est mo je suis le roi des ombres

[Saaloen]

S°42 : ...

S°42 était allongée sur un lit, éclairée par un tube à néo.
Elle lisait un bout de papier, qui était déchiré en deux... C'était... Une lettre post mortem... D'une certaine S°41.
Ce qu'il y avait écrit dessus n'encourageait pas à faire ce que les gens d'ici demandaient...
C'était le quatrième mois passé dans cette base militaire pour S°42.
Quatre mois à ne rien faire de spécial, si ce ne fut apprendre à régler des fréquences radio, à pratiquer des genres de cours de premiers soins, et quelques bricoles dans le style.
Mais, rien de spécial.
Elle parcourait assez rapidement la lettre des yeux, et se demandait où avait pu passer la partie manquante.
Elle ne le saurait jamais. Elle ne saurait non plus jamais pourquoi il manquait une partie à la lettre.
Son regard se tourna vers la porte... Quelqu'un approchait ; on venait sans doutes la chercher.
Elle se leva, souleva le matelas, et cacha la lettre dessous, avant de s'allonger sur le lit, les mains derrière le crâne, et, elle regardait fixement le tube à néon au dessus d'elle.

La porte de la chambre s'ouvrit, laissant paraître un... Militaire... Oui, un militaire. Ce ne pouvait être que ça, ou alors, un mec dans le genre.
Bref, il fit deux pas dans la chambres.

Militaire : Suivez moi.

S°42 se leva, le regard vide et blasé, et se tint droite devant le nouvel arrivant, signe montrant qu'elle allait le suivre.

Le sujet numéro quarante deux devait avoir quinze ans, et était de taille moyenne, voire, un peu petite.
Elle était blonde, avec des cheveux lisses qui lui arrivaient au milieu du dos, et qui étaient coiffés en arrière, dévoilant ainsi ses oreilles.
Elle avait des yeux verts/marrons, qui allaient plutôt bien avec ses yeux.
Ses menton était un peu carré sur les bords, mais c'était léger.
De nombreuses cicatrices parcouraient sa joue gauche ainsi que son front : c'était des cicatrices laissées par des ongles d'une personne, à priori...
Ses yeux verts n'affichaient aucun sentiments, et sa fine bouche non plus. Cela concordait avec le fait qu'elle ne parlait jamais, et avec son passé plus que douteux.

Elle suivait donc le militaire dans les couloirs de la base, ne sachant vraiment pas où elle allait.
Elle n'avait jamais cherchée à connaître la base en elle même, et... Comment dire... En fait, elle semblait dans son monde à elle.
Elle suivait lentement le militaire, et au bout d'une bonne minute de marche, elle envoya d'une voix parfaitement monotone :

S°42 : Nous allons où.

Elle n'avait même pas haussée le ton pour son interrogation, ce qui eut pour résultat de mettre le militaire mal à l'aise.
Militaire
Rien, la routine, vous allez passer un contrôle médical.

S°42 : Quel est l'intérêt de faire de telles choses...

Le militaire ne répondit pas, et le duo prit un embranchement sur la droite, et d'entrer dans une salle toute blanche.
Les murs étaient peints en blanc, le plafond aussi, le sol était carrelé en blanc...
Il y avait des étagères devant les murs, qui étaient remplies de produits médicaux dans différents emballages, fioles, et autres choses diverses, comme des seringues, des scalpels...
Le militaire avait fait entrer S°42, avant de sortir en fermant la porte, pour attendre dehors.
Le regard de la fille se porta sur un scalpel, dont la lame devait faire au moins la taille d'une de ses phalanges...
On lui parlait, et elle tourna la tête pour voir de quoi ou qui il s'agissait.

Scientifique : Hého, vous m'écoutez ?

S°42 : ...

Elle hocha la tête pour dire oui.

Scientifique : Bien. Veuillez prendre une chaise, je vous prie.

Elle avança jusqu'à un bureau, sur lequel se trouvait des dossiers, des feuilles, des documents, des classeurs, dont tout leurs contenus devaient probablement être chiants comme le monde, et non digne d'intérêt.
Elle s'assit ensuite sur une chaise en face de tout ces papiers, et se tenait bien droite, les main sur les côtés. Elle regardait fixement le scientifique dans les yeux, voir même, elle le dévisageait.
Dans la pièce, elle avait remarquée deux autres individus... Un semblait être un major, ou bien un colonel... Peut-être un général... Quoi qu'il en soit, il se tenait de l'autre côté du bureau : le côté des enculés, selon S°42.
Il y avait aussi un médecin, qui préparait une fiole, et une seringue, peut-être pour faire une prise de sang...
Ce n'était pas bien difficile à deviner.

Scientifique : Bien, vous devez être au courant, le grand jour approche pour vous.
C'est pourquoi nous allons faire quelques dernières analyses, pour voir si vous êtes en bonne santé, et prête pour le grand saut, si vous voyez ce que je veux dire.

S°42 : ...

Scientifique : D'accord...
Normalement, il est coutume de présenter les sujet au colonel, mais comme vous ne semblez pas bavarde, et ce, depuis que vous êtes ici, nous avions donnés un dossier vous concernant à notre bon colonel, qui est à ma gauche.

S°42 : Faites comme vous voulez, de toutes façons, je n'ai pas le choix. Je ne vois même pas pourquoi vous me dites ce que vous faites, et pourquoi vous jugez utile de m'en parler.
De toutes façons, je m'en moque totalement.

Le colonel se leva, déposant le dossier qu'il avait d'elle sur la table.

Colonel : Je ne pense pas qu'elle fera l'affaire.
Regardez, vous avez vu le profil psychologique ?
Je n'arrive pas à croire que maintenant, vous allez me les chercher dans des hôpitaux psychiatriques...
Non mais, vous avez lu ?
Démence, hystérie, épilepsie, amnésie, syndrome de double personnalité, et...
Vous avez vu la taille de la liste ? Vous pensez qu'elle fera l'affaire pour le projet ?

Scientifique : Enlever des sujets dont la vie était normale a finit par répugner les investisseurs, qui ont décidés d'aller les chercher dans des hp. C'est comme ça.
Et puis, nous n'avons qu'elle.

Le sujet numéro quarante deux se mit à dévisager le colonel.

Colonel : Vous avez vu comment elle est ?
Ça va être du gâchis de temps...

Scientifique : Il nous faut juste votre feu vert. Et puis, nous essayerons avec elle, pour voir si des gens comme elle se débrouillent mieux que les autres...
Ça ne coûte rien d'essayer, non ?

Colonel : Si, ça coûte très cher.
Je...Vous avez mon feu vert pour cette fois ci.

Il sortit de la pièce en claquant la porte, et en poussant le militaire qui attendait de l'autre côté de la porte.
"Les gens comme elle".
Il est vrai qu'elle n'était pas comme les autres... Loin de là...
Le sujet numéro quarante deux ne connais même plus son nom... Elle ne se souvient de pas grand chose, si ce n'est d'avoir tué ses parents à coups de machettes, avant de faire flamber sa demeure familiale...
Ensuite, elle vécu deux ans en hôpital psychiatrique, avec d'autres patients qui étaient... Comme elle, ce qui lui a valu ces cicatrices sur son visage...
Et puis un beau jour, on était allé la chercher, et elle était arrivée là où elle en était aujourd'hui.
Voila. Un résumé de tout ce qu'elle savait.

S°42 : En quoi consistera la "mission"...

Toujours le même ton monotone...
Son regard s'était porté sur le médecin au fond de la pièce, et sur un scalpel qui se trouvait sur une étagère à côté de celui-ci.
Elle avait une idée...

[Black-shadow]

ça sa me plai de plus en plus.

continuait comme ça capitaine

[Saaloen]

Leeeeet's battle

Blablabla...
Et il parlait, et elle n'écoutait pas.
Et plus il parlait, plus elle en avait rien à carrer.
Scientifique
Donc, nous allons vous faire une petite prise de sans, d'accord ?

S°42
Si ça vous amuse.

Elle se leva et alla s'asseoir sur une autre chaise, à côté du médecin qui devait lui faire la prise de sang.
Elle regarda à gauche... Le scalpel était séparée d'elle d'un bon mètre... Peut-être qu'en étant assez rapide... Oui, elle pourrait le dérober. Elle allait le dérober.
Elle ne savait pas ce qu'elle allait faire avec, mais si tous les autres qui étaient partis en "mission" étaient morts, alors elle devrait mieux y aller armée...
Rien qu'à repenser à ce qu'il y avait écrit sur la lettre de cette "S°41"... Il y avait de quoi s’inquiéter...
Médecin
Tendez moi votre bras, s'il vous plait.

Il venait de la tirer de ses pensées, la faisant ainsi sursauter.
Elle ne lui répondit pas, et remonta juste la manche droite de son haut, avant de lui tendre son bras tendu.
Pourquoi une prise de sang, déjà ?
Elle n'avait pas écoutée... Mais bon... C'était une bonne occasion pour voler le scalpel.
Elle sentit son bras se faire saisir, avant qu'un garrot ne lui soit fait au biceps.
Médecin
Ça va piquer.

S°42
Vous allez m'en prendre combien...

Médecin
Ho, pas beaucoup, dix millilitres.

Elle tourna la tête pour regarder vers sa gauche, et regarda ensuite devant elle le scientifique qui écrivait des lignes sur un dossier.
Elle devrait saisir le bon moment.
Elle sentit l'aiguille s'enfoncer dans une des veines de son coude, avant de commencer son travail de suceuse.
Médecin
Voilaaaa...

Il avait retiré la seringue au bout d'une dizaine de secondes, avant de poser un pansement relativement inutile sur l'endroit où l'aiguille était entrée.
Il se retourna, avant de faire on ne sait quoi avec la fiole dans laquelle le sang du sujet se trouvait.
Celle-ci se leva, et, constatant que l'autre travaillait toujours sur son dossier, elle arriva à la conclusion qu'elle n'était pas regardée.
Elle fit quelques pas jusqu'où se tenait le scalpel, en regardant autour d'elle avec un air faussement curieux, mais bien réussit.
Elle saisit l'objet d'un coup rapide, sans bruit, et le cacha dans sa manche droite.
Maintenant, elle n'avait plus qu'à faire comme si de rien était pour achever son jeu d'actrice.
Elle saisit un flacon d'un produit dont elle ne connaissait pas l'utilité, et faisait mine de le regarder.
Scientifique
Que tenez vous là ?

Elle se retourna, présentant la fiole qu'elle tenait dans sa main gauche.
S°42
Je regardai juste.
C'est quoi ?

Scientifique
Rien, c'est juste un désinfectant.

Elle reposa le flacon, avant de marcher calmement dans la pièce comme une visiteuse, avant de retourner s'asseoir à la chaise en face du bureau du type aux dossiers.
S°42
Maintenant... Je fais quoi...

Toujours le même ton monotone et chiant.
Scientifique
Ho, nous en avons finis. Vous pouvez retourner dans vos quartiers.
Après demain, ce sera le grand saut, nous irons vous chercher dans vos quartiers pour le départ.

S°42
Compris.

Elle se leva nonchalamment, pour sortir de la pièce, et se faire raccompagner à sa chambre par le même militaire qui l'avait amené ici.

[Black-shadow]

It's very god

continu saaloen

[Saaloen]

Toujours le même plafond.
Toujours le même tube à néon au dessus de la tête.
Toujours cette même toile d'araignée dans un des angles de la pièce.
Toujours cette même impression de déjà vu.
Le sujet numéro quarante deux était allongée sur le dos, sur son lit, et attendait que l'on vienne la chercher.
Après tout, c'était aujourd'hui le grand jour, non ?
Oui. Donc, comme chaque jour depuis qu'elle était ici, elle faisait la même chose : Elle attendait.
Elle attendait que l'on vienne la chercher, pour faire telle ou telle chose, des conneries, etc...
Sauf que ce coup-ci, ce serait différent. Elle allait enfin quitter cet endroit, et pour de bon. Différents idée d'évasion rôdaient dans sa tête, elle n'avait juste à savoir comment les mettre en oeuvre... Et trouver de bonnes occasions ; le reste se ferait de lui même.
On frappa à la porte.
S°42
...

Militaire
Vous devez venir. Aujourd'hui est le jour de la mission.

Elle souffla, avant de se redresser d'un coup, et de se lever.
Le scalpel attendait dans sa manche droite, prête à être sortie et à frapper pour parer à toutes éventualités.
Elle ouvrit la porte, se tenant droite devant le militaire.
S°42
Je vous suis.

Il se retourna, marchant assez vite.
Un couloir... Un embranchement à gauche... Des portes... Aucunes n'est prise... Un autre couloir... Un second embranchement... Encore des portes... Tant d'issues...
Ils marchèrent cinq minutes dans les dédales de la base, avant d'arriver dans un couloir, qui, lui, par rapport aux autres, donnait sur un ascenseur.
Le troufion qu'était le militaire ouvrit l’ascenseur, avant de faire entrer la petite fille dedans, et de le faire monter.
S°42 regarda la compteur des étages.
-21...
-20...
-19...
-18...
-17...
-16...
Visiblement, ils montaient...
Et c'était long...
Elle était toujours droite, à côté du militaire, à regarder les numéros des étages défiler...
-5...
-4...
C'était bientôt terminé.
-3...
-2...
-1...
TING !
La porte venait de s'ouvrir, et donnait sur... Des couloirs. Avec des portes sur les côtés, et d'autres couloirs, qui devaient eux aussi donner sur des couloirs, qui devaient donner sur des salles.
L'endroit était juste immense, et s'en échapper était juste impossible.
Il faut croire que le plus grand risque ici était de crever de vieillesse en voulant trouver la bonne issue lors d'une tentative d'évasion...
Bref.
Une nouvelle marche eut lieue.
Couloir de gauche.
Dédale de droite.
Seconde porte à gauche.
Première issue à droite.
Prendre le couloir jusqu'à un hall, puis, quatrième porte à gauche, un autre couloir.
Là, premier embranchement, puis, aller à droite...
Puis... C'était tout le temps comme ça.
C'était long... Fastidieux...
Pourquoi avoir fait une base comme celle-ci ?
Le duo arriva enfin sur une large salle, qui donnait sur une double porte en acier, de cinq mètres pour chaque battant, et qui devait s'ouvrir en deux en coulissant sur les côtés.
Le militaire avança jusqu'à un mur de celle-ci, et tapota sur un genre de boitier qui était accroché à celui-ci.
Un mot de passe, sans doutes.
La porte réagit en s'ouvrant en deux, laissant entrer un flot de lumière dans la structure.
Au delà de cette porte se trouvait le monde extérieur, monde bien étranger à S°42, qui n'était pas sortie du bunker depuis de nombreux mois.
Ce monde étranger dont la lumière était éblouissante, et l'air léger, non pas comme dans le bâtiment.
Devant son hésitation à sortir, le militaire poussa la fille, avant de l'accompagner jusqu'à un camion bâché de l'armée.
Elle entra par l'arrière, où elle se trouvait seule avec le colonel.
A l'avant se trouve deux militaires, conducteur y compris.
Le camion démarra... A l'heure du départ, il devait être seize heure... Peut-être un peu plus ?
Et le colonel se mit à tenir un long discours sur la mission, et tout un tas de formalité.
Elle n'avait pas franchement écoutée ce type, ayant la tête on ne sait où.
De toutes façons, il ne lui avait pas vraiment apprit quelque chose de nouveau que ce qu'on avait pu lui apprendre dans la base...
Un sac avec une couverture de survie, de l'eau, des barres nutritives, une lampe torche qui avait environ entre quatre et six heures d'autonomie, et casque de communication qu'elle savait régler, bref, elle savait déjà ce dont avec quoi elle partirait.
La mission était de trouver huit feuilles de papier, ou bien un truc dans le genre.
De toutes façons, elle n'allait pas le faire, puisqu'elle contait s'enfuir. Pourquoi écouter ce con qui lui parlait ?
Elle n'avait que ça à faire, et puis, quand on écoute quelqu'un, le temps passe plus vite, non ?
Quoique, c'est à vérifier.
Mais là, il lui cassait plus les couilles qu'elle n'avait pas qu'autre chose.
Elle arrivera sur la réserve militaire à environ neuf heures du soir, et sera seule, dans la nuit, prête à s'évader.
Elle n'avait plus qu'à attendre d'arriver là bas...
Que c'était long...
Et qu'est-ce-que c'était chiant quand le colonel parlait...

[Saaloen]

La nuit.
Noire, sombre, pleine de brouillard... Cette nuit ci dégageait une impression malsaine hors du commun.

Comme tout ces prédécesseurs, S°42 était arrivée à la même conclusion sur cet environnement louche et glauque.

Larguée à une petite centaine de mètres de la réserve, dans le noir, seule, avec un casque à qui parler.
Elle l'avait déjà réglée, et s'était ensuite dirigée vers le grillage qu'il fallait escalader pour entrer dans la réserve.
Ça avait été vite fait, et un peu de la même manière que S°41, sans le cassage de gueule.
Voila.
Elle y était.
Elle était maintenant dans le territoire du Slender, bien qu'elle ne connaissait pas encore l'existence de celui-ci.
Agent com'
Vous me recevez ?

S°42
...

Agent com'
Je sais que vous êtes là, alors répondez, je vous prie.

S°42
...

Agent com'
Bien. Commencez à vous diriger à votre gauche. Vous devriez tomber sur un chemin.

Elle s'exécuta, par simple curiosité. Elle n'allait pas lui obéir jusqu'au bout, car en plus de cela, elle ne connaissait pas les risques.
Au pire, elle était armée... D'un scalpel. Certes, il était tranchant, mais pas spécialement pratique à manier.
Mais bon, c'était mieux que rien.
Elle était finalement tombée sur le chemin, et suivait les indications de l'agent de communication, sans toutefois lui répondre.
Ce mec était comme tous les autres quand il parlait : S°42 ressentait de l'hypocrisie, et... Il la faisait chier. Tout simplement.
Et elle marchait, seule dans le noir, pendant que l'autre type parlait, et cherchait à savoir pourquoi elle ne lui répondait pas.
Réponse ? Il la faisait chier, comme précisé auparavant.
Ce qu'il disait n'était pas digne d'intérêt, et puis de toutes façons, il n'interviendrait pas, et pourrait juste cafter aux autres militaires le moment où elle s'enfuirait.
En vingt bonnes minutes de marche, elle était arrivée aux immenses cuves de produits chimiques.
C'était juste des cuves de dix milles litres chacune, elles étaient grosses, rouillées, et alignées, rien de vraiment spécial.
Elles aussi, elles faisaient chier S°42.
S°42
Je vois quelque chose là bas...

Elle tourna sa lampe torche vers le sol à côté de l'une des cuves.
Il y avait... Une bouteille d'eau... A moitié vide, ouverte, et posée à l'horizontale.
S°42 marcha jusqu'à celle-ci, la ramassa, et...
S°42
De quoi s'agit-il ?

Agent com
Il s'agit de la ration d'eau de S°41, qui l'avait lâchée ici.

S°42
En quel honneur ?

Agent com
Je ne sais pas...

Que d'hypocrisie... Ça se voyait tellement, qu'il mentait.
S°42 se retourna, et vit ce qui semblerait être une feuille de papier avec écrit dessus "HELP ME !" au fusain, collée sur une cuve, à côté de la bouteille qui était au sol.
La feuille était froissée... Comme si on s'était adossé dessus. Ça avait été le cas : Lorsque S°41 s'était adossée à la cuve, elle avait la feuille dans le dos sans le savoir.
S°42
Mmh...

Elle arracha la feuille d'un coup sec.
Berk... Elle dégoulinait de mucus.
Agent com'
Bien... Il devrait en rester sept autres comme ça...

Elle regarda la feuille, la saisit de son autre main, et... La déchira en deux, avant de la déchirer en une multitude de petits bouts, et de tout jeter dans les airs comme des confettis.
Agent com'
Mais... !

La fille se mit à ricaner, avant d'avancer vers un bâtiment qu'elle apercevait au loin.
Agent com'
Nous avions besoins de ces feuilles intactes !

S°42
De quoi, la feuille de PQ que je viens de déchirer à l'instant ?
Hinhinhin...

L'agent de communication soupira, tendit que S°42 avançait jusqu'au bâtiment.
Celui-ci fut atteint en moins de deux minutes de marches dans le noir.
C'était un genre de bâtiment en U, dont la porte était dans le creux du U.
Et elle venait d'entrer dedans, sifflotant comme une grosse indiscrète.
Agent com'
Vous devriez cesser de faire du bruit.

S°42
Ha ? Sinon quoi ?

Pas de réponses à cette remarque fracassante.
Agent com'
Mmh... Prenez ma porte à votre droite... S°41 était passée par là...

Elle tourna la lampe torche vers la porte en question.
Pourquoi pas ? Après tout, elle ne risquait rien.
Elle passa au travers de la porte ouverte, débouchant ensuite dans une pièce petite, avec un bureau, une lampe de chevet, pas mal de dossiers, une chaise, une... Lampe torche qui était par terre, ainsi que trois feuilles qui ressemblaient à celle qu'elle avait déchirée auparavant.
S°42
...

Elle se baissa pour les ramasser, avant de se redresser d'un coup, pour lire ce qu'il y avait décrit dessus...
Des conneries. On aurait dit qu'un gosse de six ans avait apprit à dessiner là dessus.
Là, la voix de l'agent de communication se fit entendre, sauf que... Elle était incompréhensible. Elle grésillait à fond, et... Il semblait hurler un ordre imminent.
S°42
Vous pourriez... Régler votre micro ?

Agent com'
V...
Sl... Gcrrz...
Er..... Crzz.... VOUS !
Ret...

S°42
Mmh ? Mais pourquoi ça bug ?

Elle se sentait étrangement mal à l'aise... Que voulait-il dire ?
Autant sortir d'ici.
Elle se retourna, et...
Le Slender attendait sur le mur à côté de la porte, à l'intérieur de la pièce. Elle ne l'avait même pas vu lorsqu'elle était entrée, et était passé bien à côté.
Il attendait là, à côté de la porte, et S°42 eut un grand moment de solitude.

[Black-shadow]

classe
tu t'inspire des jeux slender?

[Saaloen]

Nan mais le titre est "Slender" , plus sérieusement oui pas mal mais j'essaye d'ajouter ma touche comme le mental du héros. En l'occurance le Sujet 41 et 42 qui malgré leur même capacité intellectuelle sont deux esprit différent.

[Pork King 007]

wow, quel suspense

[Saaloen]

S°42
...

Slenderman
...

Hohoho...
Hohoho...
Alors ça, c'était vraiment con... Ça ne pouvait vraiment pas tourner pire.
Le Slender lui barrait la route, et était là, face à elle, la tête un peu penchée pour pouvoir la "regarder" dans les yeux.
S°42 ne semblait pas spécialement apeurée.
Elle regarda le Slender, puis les feuilles... Le Slender... Les feuilles...
Elle montra les trois feuillez qu'elle tenait dans une main.
S°42
C'est ça que tu veux ?

Il ne réagit pas, et en réponse, elle déchira les trois feuilles en deux, avant de les jeter par terres.
Là, six tentacules noires sortirent du dos de l'étrange être en s'agitant dans tous les sens, prêtent à frapper...
S°42 allait avoir sa fête.
Il allait la tuer. Il le voulait...
Mais pas elle.
S°42
Quoique tu sois, tu apprendras que ma force de volonté est plus forte que la tienne.

Elle enleva d'un coup son casque de communication, avant de le lancer au niveau du visage de la créature.
De toutes façons, c'était soit lui, soit elle.
C'est à ce moment précis que S°42 se souvint de la lettre post mortem de S°41... "Si vous lisez ceci, c'est que je suis décédée". C'était à peu près ça, la phrase.
Elle arriva donc à se poser la question que chaque sujet envoyé ici était venu à se poser : "Pourquoi être envoyé ici sans armes ?"
Elle n'avait maintenant plus le temps de réfléchir. Le combat venait de commencer.
D'un coup de tentacule, le casque fut envoyé sur le côté, brisé en quatre.
S°42
...

La force de cet être était tout bonnement inouïe.
S°42 avait profité de sa ruse pour charger sur le Slender, mais... Elle n'y arriva pas. Un autre de ses tentacules fondit sur elle, et alla se planter dans son épaule gauche tel un pieu acéré, avant de la soulever du sol.
La douleur était très forte, son épaule gauche la brûlait et la lançait en même temps, alors qu'elle sentait son bras gauche s'engourdir, et... Ça faisait mal. Tout simplement très mal.
De sa tentacule, il la rapprocha de lui, jusqu'à ce que son visage ne soit qu'à quelques centimètres du sien...
Comme tous les autres enfants, elle allait mourir. C'était son destin. Il allait la massacrer, comme tous les autres...
Sauf qu'elle... Elle était folle et armée.
S°42
Ma volonté...

Elle lui toussa du sang sur son visage lisse et blanc.
S°42
Est plus forte... Que la tienne...

Elle tendit son bras droit, auquel la main était armée d'un scalpel.
Là, elle frappa le Slender d'un coup sec au niveau du coup.
Elle ressortit aussitôt le scalpel, et le refrappa encore au coup, provoquant l’éjection de fortes giclées de sang noir.
Sous la douleur, sa tentacule sortit de l'épaule de la fille, la faisant tomber au sol.
Le Slender tituba un peu, se tenant le coup d'une main, avant de reculer.
C'était le première fois qu'on lui faisait un coup pareil.
S°42 s'était relevée ; tout comme lui, elle pissait le sang, sauf qu'à la différence su Slenderman, elle était blessée à une épaule, ce qui était moins grave.
S°42
Crève, fils de pute !

Elle lui fonça dessus, lui lacérant le visage d'un coup vertical de scalpel, avant de lui rentrer dedans avec son épaule blessée, et mettant tout son poids sur celle-ci, elle fit basculer le Slender au sol.
Alors que les deux tombaient, elle éleva son scalpel, et lui frappa le visage avec.
Maintenant, elle était avec lui au sol, à lui donner de nombreux coups avec sa lame, tendit que les tentacules de la créature lui enroulaient une jambe, le bassin, le bras blessé... Il allait sans doutes l'écarteler, mais elle n'allait pas se laisser faire.
Elle éleva une dernière fois son scalpel, avant de le planter là où aurait du se trouver un oeuil.
C'était entré comme dans du beurre, faisant gicler du sang partout.
D'une main, elle appuya sur l'extrémité du manche du scalpel, terminant d'enfoncer celui-ci dans la cervelle du Slender.
Les tentacules du Slender lâchèrent leur emprises sur S°42, devant moles, avant de tomber au sol, comme des loques.
Le scalpel était carrément dans la tête de la créature.
S°42 était visiblement une personne qui ne fallait pas chercher...
Une flaque de sang noir s'était répandue au sol, et le sang rouge qui coulait de la fille se mêla au noir du monstre...
Elle saignait beaucoup trop... Et... S'écroula sur le côté.
Elle s'était écroulée à côté de son ennemi, avec lequel elle avait été plus proche que n'importe qui qu'elle avait rencontré au cour de sa vie.
Elle regarda la lampe torche qu'elle avait laissée tomber en se battant... Elle éclairait toujours...
Elle appliqua une main sur son épaule, avant de regarder le plafond, et... Elle se mit d'elle même en position latérale de sécurité, au cas où elle fasse un malaise, histoire de ne pas s'étouffer dans un probable vomis, ou bien par sa langue...
Elle était si fatiguée... Si faible... Si vidée...

[El-brasier]

sympa le combat avec le slender ^^

[Saaloen]

Merci on n'arrive bientot a la fin de la Fic j'éspère qu'elle vous plait ^^

[Pork King 007]

Merci on n'arrive bientot a la fin de la Fic j'éspère qu'elle vous plait ^^

J'adore! je m'y attendais vraiment pas...

[Black-shadow]

au nul que la fic s'arréte bientot

mais c'est super Saaloen!!

[El-brasier]

il y a un seul truc qui me deplait dans cette fic: c'est qu'elle va bientot s'arreter

[Saaloen]

CHAPITRE FINAL


S°42 ouvrit faiblement les yeux...
Des voix... Elle n'était pas seule...
Elle releva lentement la tête, et regarda autour d'elle...
C'était le même bâtiment dans lequel elle avait tué la créature... Mais pas la même pièce.
Celle-ci était un peu plus grande que l'autre... Et... Disposait d'une fenêtre, qui laissait filtrer la lumière du jour, qui éclairait d'une onde réchauffante et rassurante le fin visage de S°42.
Elle se redressa, constatant que son épaule avait été bandée.
Elle regarda par la fenêtre, et se rendit compte que les arbres avaient tous leurs feuilles oranges... C'était l'automne, et elle ne s'en était pas rendue compte jusqu'à présent...
Quelle belle saison.
?
Le sujet quarante deux s'est réveillée !

Elle se retourna, et vit un militaire dans une genre de combinaison complète, le genre de truc avec système respiratoire interne, avec un scaphandre opaque, et la combinaison en elle même était sans doutes pare balles, bref, la totale.
Il tenait ce qui semblerait être un lance flammes.
S°42
...

Colonel
C'est bon, laissez la, et retournez à vos occupations.

Le colonel était arrivé par derrière, et regardait S°42 dans les yeux.
Tout comme elle, son visage était vide d'expressions et de sentiments.
S°42
Pourquoi ?

Colonel
Vous ne saurez rien.
Vous allez me suivre, et nous allons retourner à la base.

S°42
Et si je ne veux pas ?

Il dégaina un revolver six coups, et le tendit vers S°42.
Colonel
C'est vous qui voyez.
Nous devons faire quelques analyses sur vous.

S°42
Ce que j'ai fais...
Ai-je bien fait ?

Il pencha un peu la tête sur le côté.
Colonel
Suivez moi.

Il se retourna, et se mit à marcher vers la sortie.
S°42 le suivit, un peu perdue... Que ce passait-il ici ?
D'autres hommes en combinaisons intégrales passaient de ci de là avec des lances flammes, et foutaient le feu un peu partout dans le bâtiment.
S°42 continuait de suivre le colonel, et ils entrèrent dans le même camion bâché qui avait amenée la fille une journée plus tôt ici.
Ils étaient tous les deux seuls à l'arrière, et sur ordre, le camion démarra, en direction du QG.
S°42
Que se passe-t-il ? Qu'est-ce-qu'était la chose que j'ai massacré ? Pourquoi devais-je trouver des feuilles ?
Je... J'ai tellement de questions...

Un blanc.
S°42 se tenait face au colonel, tous deux debout et seuls à l'arrière du camion.
Colonel
Vous... Vous aviez fait ce qu'il ne fallait pas faire...

S°42
Je n'y comprends rien.

Colonel
Il ne fallait pas toucher au Slender. Vous êtes infectée.

S°42
Pardon ?

Colonel
Vous voyez la chose que vous avez tué ? Vous allez devenir comme lui.

S°42
Je...

Colonel
Cette chose que vous avez tué est... C'est long à expliquer.
C'est une arme militaire. Un virus qui plus est. Ne me demandez pas d'autres détails, je ne vais pas vous faire un cours là dessus.
Ce spécimen-ci s'était échappé des cellules de confinement, et...

S°42 le coupa.
S°42
Pourquoi avoir envoyé des enfants ? Et pourquoi ces gens avec les lances flammes ?

Colonel
Ce sujet-ci étant un spécimen isolé, il fallait trouver un moyen d'étudier ses comportements... Il était assez intelligent pour ne pas se montrer lorsque nous envoyions des escouades entières.
Les lances flammes ? C'est un groupe de nettoyage. Ils vont brûler le bâtiment.

S°42
Comment ai-je été infectée ?

Colonel
C'est pourtant évidant... Quand vous étiez blessée, et au sol, votre sang s'est mêlé à celui du Slender.

S°42
Pourquoi suis-je encore en vie ?
Je suis un témoin, et en plus, infectée, non ?
Et ces feuilles, c'était quoi ?

Colonel
Nous...

Il s'arrêta. On l’appelait sur un genre de téléphone satellite sécurisé... Un truc de l'armée quoi. Il le sortit, et se mit à parler.
Colonel
Je... Oui... Oui Monsieur... Il sera fait comme vous le demandez. Oui. Oui Monsieur. Très bien.

Il raccrocha.
Colonel
Très bien. Changement de directives.

Il dégaine de nouveau son arme, et le braqua sur S°42.

L'instinct de survie fut plus fort que les ordres reçus du colonel.
En un rien de temps, elle avait donné un magnifique coup de la main gauche dans l'avant bras droit du Colonel, avant bras qui tenait l'arme.
Celui-ci étant dévié sur le côté, S°42 en profita pour envoyer un violent coup de pied en plein plexus du colonel, qui, se trouvait debout, dos à la bâche entrouverte du fond du camion.
Il tomba du camion sur la route s'écrasant sur le dos ; il avait lâché son arme dans le camion, celle-ci étant tombée par terre.
Ce type avait trop été stupide.
Victoire. S°42 allait survivre, une fois de plus...
Le camion se mit à ralentir... Le conducteur et le passager avant avaient du voir le haut gradé tomber de l'arrière du camion...
S°42 ne se posa plus de questions.
Il fallait qu'elle vive, et ces deux types à l'avant n'allaient pas lui faire de cadeaux...
Le camion s'était quasiment arrêté, et la fille ramassa l'arme du colonel, et sauta de l'arrière du véhicule, en se réceptionnant en une roulade.
Le camion bâché s'était arrêté. La porte avant droite venait de s'ouvrir, et un militaire armé d'une M16 commençait à descendre.
S°42 s'était approchée en marchant, l'arme dressée au bout de ses deux bras tendus.
Elle s'était approchée, et alors que l'homme commençait à peine à sortir du véhicule, il se prit trois balles.
La première dans l'épaule droite, la seconde dans le flanc droit, et donc dans le poumon, et la troisième en pleine tête.
La fille s'était rendue compte que tirer était une chose, qui, en soit, n'était pas spécialement difficile...
Il fallait à peine appuyer sur la détente... Juste un peu... Un tout petit peu... C'est tellement facile.
La portière avant droite avait été aspergée du sang de la victime du côté interne, le militaire résidant maintenant au sol.
Le conducteur devait lui aussi être armé, et avait sans aucuns doutes du entendre son collègue se faire massacrer...
Lui et S°42 étaient séparés par le camion bâché.
En effet, S°42 était à droite, à côté du corps, et le conducteur, se tenait du côté gauche, le camion faisait en quelques sortes office de mur.
C'était soit lui, soit elle.
Militaire
Merde... Merde... Merde...

Il stressait trop, et faisait trop de bruit...
S°42 ferma les yeux, et tendit l'arme...
Elle tira au travers des bâches du camion bâché.
Elle ouvrit lentement les yeux, et entendit quelqu'un s'écrouler au sol.
Elle n'avait même pas besoin d'aller vérifier. Le conducteur avait été tué, d'une balle qui lui était entrée par l'arrière de la nuque, et qui était ressortie par la pomme d'Adam.
Voila. Elle s'était débarrassée d'eux deux.
Elle regarda plus loin sur la route, où le colonel gisait là bas.
Elle devait être à une trentaine de mètres de lui ; c'était une bien petite distance, que la jeune fille armée eut franchie en bien peu de temps.
Cet enculé de militaire ne bougeait pas vraiment.
Il était conscient, respirait, mais n'avait pas essayé de s'enfuir.
S°42 se tenait devant lui, debout, et braquait son arme sur la tête de son ancien propriétaire, qui releva la tête devant elle.
Colonel
Pitié... J'ai une famille...

S°42
Pas moi.

Elle tira.
La balle traversa la tête du haut gradé en entrant par un oeil, avant de ressortir par l'arrière du crane. La balle avait bien défoncée la cervelle, en passant du tronc cérébral à l’hypothalamus.
Le sang se répandit lentement sur la route.
C'était une arme qui disposait d'un chargeur six balles, et elle n'en contenait maintenant plus qu'une.
Infectée. Selon le mort qui était par terre en face d'elle, S°42 était infectée. Elle deviendra comme l'autre créature : Sans visages, des tentacules dans le dos, et n'obéirait plus à sa volonté propre.
S°42 resta debout à regarder le cadavre six bonnes minutes, sans rien dire.
Elle qui voulait pourtant vivre, personne ne sut ce qui se passa dans sa tête à ce moment là.
Elle releva l'arme, et le braqua contre sa tempe.
S°42
Ma volonté est plus forte que la tienne.

Ce coup fut le dernier de la fusillade, et fut le dernier à résonner dans cette foret automnale.


FIN.

C'ÉTAIT SLENDER PAR SAALOEN

[Pork King 007]

C'était... incroyable... les détails... tout était juste incroyable...

[Saaloen]

J'aime bien les histoires noires comme celle ci après cela ne colle pas trop a Pokémon xD Mais bon cet Fanfic est une de mes meilleurs sans me vanter =)

[Pork King 007]

J'aime bien les histoires noires comme celle ci après cela ne colle pas trop a Pokémon xD Mais bon cet Fanfic est une de mes meilleurs sans me vanter =)

Tu veux dire que tu a faits d'autre fic' Tu peux les mettres aussi

[Saaloen]

Nan les autres sont beaucoup plus longues niveau page la on en serrait a moins de la moitié du quart de l'histoire t'imagine ?

Sinon je suis en train de me lancer dans ma fanfic pokémon parce que bon faut bien que je serve a quelques choses donc bon j'ai mis les bases : Background des protagonistes, starters, team et son objectif, rivaux et types des huit arènes...

Et la si vous êtes pas un psykokwak vous aurez remarqué que j'ai un un "s" a protagoniste et rivaux a la place de rival. Ma fanfic raconteras en faite l'avancement séparé de quatres amis qui vivent dans leurs petits villages. C'est assez classique mais vu que je suis tout sauf niant niant je pense sans prétentieux que sa va pété du poney !

[Saaloen]

up

[Metazenithian]

Réserve les ups quand ça fait déjà plusieurs jours qu'il n'y a pas eu de réponses. Un jour c'est beaucoup trop court pour un up. Il faut attendre au minimum 3-4 jours.

Sinon moi je veux bien voir ce que ça va donner ^^.

[Saaloen]

Oui désolé méta mais bon comme j'avais édité cela ne se voit pas donc bon ^^

[Pork King 007]

Ben j'ai déja commencé a lire le début(le prologue quoi) est ça promet.